Là où nous devons user de notre vertu de prudence dans les temps que nous vivons réside dans la distinction, comme dans un spectacle de magie, entre le tour que l’on nous montre (ce qui est mis en avant) et la réelle duperie qui se cache dans l’ombre, « la fameuse magie ».
Aujourd’hui, nous pouvons observer qu’une majorité de plus en plus croissante de Français comprend que le gouvernement qui nous oppresse est l’ennemi de son peuple et des intérêts de la patrie. Et ils ont raison de le penser comme de le dire, nos élites sont bien des traîtres, nous le voyons, nous le constatons!
Mais il faut garder mesure sur ce qui s’avance dans l’ombre. Bientôt, au terme de cette mascarade, nous entendrons parler d’un homme providentiel, un fameux libérateur comme il en vient de tout temps dans les périodes de crises où l’espoir est remplacé par la peur et où le sentiment d’urgence se fait sentir.
C’est à ce moment-là que la trahison finale s’opérera, au moment où le peuple désespéré, craintif et pressé par les événements, écoutera cet homme providentiel, « ce sauveur », qui promettra monts et merveilles et qui, par la force de son charisme, persuadera les plus désireux de justice de le suivre dans une nouvelle révolution. Il marquera par sa réussite la fin de toutes formes de justice et de liberté pour notre peuple, car pris dans un mouvement régi par l’émotion et le doute, nous couronnerons l’usurpateur en le laissant sacrifier ses serviteurs.
Ne restez pas focalisés sur le spectacle qu’on vous montre, celui qu’on met en évidence sous vos yeux, à la télé, dans les journaux et conférences.
Regardez l’ombre qui s’avance pas à pas, guettant son heure. Et au moment où elle vous enjoindra de la suivre, où vous entendrez un discours qui vous pousse à soutenir un renversement du pouvoir au profit d’un parfait inconnu, alors éteignez votre télé, votre page internet, fermez votre journal et comprenez bien que l’issue de cette catastrophe que nous vivons ne sera pas donnée par une main qui dit vouloir nous la donner, mais bien par chacun d’entre nous. Le changement doit s’opérer au sein du peuple, dans la recherche de l’autonomie, de la responsabilité individuelle, de la morale et de la vertu.
C’est par l’établissement progressif d’une contre-société que nous renverserons la société présente.
Ne vous laissez pas régir par la peur du temps qui passe, par la crainte de rater le bon moment, par les informations qu’on vous médiatise et vous assène comme des coups de fouet : crise climatique, identitaire, sanitaire, financière, etc. Cela n’aura plus la moindre importance dès lors que vous prendrez conscience de vos responsabilités personnelles et que vous agirez dans l’intérêt du bien commun, de vos proches, de votre famille, de votre pays, au sein d’une contre-société que vous pouvez, vous qui me lisez, créer à votre échelle.
Pour ceux qui ont la foi, priez avec moi.
Pour ceux qui la recherchent, ne forcez pas les choses, car elles viendront en leur temps. Restez simplement droit et faites de votre mieux.
Pour ceux qui ne l’ont pas, agissez comme vous l’estimez le mieux dans l’écoute de votre cœur, sans vous laisser influencer par autrui, nous prions pour vous.
Dieu vous garde, beaux peuples de France, héritiers de notre histoire millénaire, fils et filles de nos illustres ancêtres, pères et mères des jours qui suivront la fin de cet âge de ténèbres, tel l’aube succède à l’obscurité. La victoire est nôtre.